Publié le 25 mars 2019

Le code pour faciliter l’intégration professionnelle des jeunes

Nouveaux services
Événement
Grand Est

Mardi 19 mars 2019, une convention a été signée entre l’école de la 2e chance (E2C) Champagne-Ardenne et La Poste afin de faciliter le passage de l’épreuve théorique générale du code de la route pour les jeunes.

En signant une convention avec le réseau E2C France, le Groupe La Poste participe à l’effort d’intégration sociale et professionnelle des jeunes en formation dans ces écoles.

L’E2C Champagne-Ardenne accompagne les jeunes dans la construction de leurs parcours professionnels. La structure a constaté que peu de leurs stagiaires sont titulaires du permis de conduire, pourtant essentiel à leur intégration professionnelle.

Alexandre Schajer, Président de l’E2C Champagne-Ardenne et du Réseau E2C France, affirme : « Certains de nos jeunes ne peuvent parfois pas signer de contrat de travail pour des problématiques de mobilité. Ce partenariat est extrêmement important ».

En sa qualité d’organisateur de l’épreuve théorique du permis de conduire et de par son réseau, La Poste permet aux E2C de Champagne-Ardenne de proposer des sessions sur les différents sites et ainsi le rendre accessible aux jeunes. Cette convention permet à l’E2C d’inscrire directement les jeunes sur des sessions d’examen du code de la route proposées par le Groupe La Poste.

Une solution simple et facile

Gilbert Doré, délégué régional du Groupe La Poste en région Grand Est, explique : « Nous avons trouvé une solution pour développer l’insertion professionnelle et sociale des jeunes. C’est une solution simple et facile, or simplifier la vie est une marque de notre entreprise ! » Cette signature locale permet une action concrète en faveur de l’égalité des chances dans l’emploi et la lutte contre toute forme de discrimination, en accord avec les valeurs du Groupe.

C’est la première fois qu’une telle convention est signée. « Peut-être pourra-t-elle se déployer dans d’autres régions et pourquoi pas au niveau national », conclut Alexandre Schajer.